Moi c’est Carine, 25 ans et j’habite à Orléans (45).
Lors de mes années d’expérience en d’entreprise sur des postes en SEO (référencement organique), création de contenus, réseaux sociaux et un petit peu SEA, j’avais 1 seul objectif par dessus tout. Que ce soit en agence de communication, en agence SEO ou chez l’annonceur, le crédo marketing était toujours le même : la visibilité et le nombre de visiteurs sur le site.
J’ai envie de dire : c’est tout.
Car je n’ai pas eu besoin d’une dizaine d’années d’expérience pour comprendre que quelque chose clochait, ou plutôt manquait ❌
L’écart constaté entre le marketing humain et le marketing digital
Le problème aujourd’hui de beaucoup de marques en ligne, c’est qu’elles misent presque uniquement leurs actions en ligne sur de la visibilité. Et sans s’en rendre compte, elles ne font alors que de la communication 📣, pas du marketing.
Car soyons réalistes deux secondes : certes Google est surement le canal d’apport de visiteurs sur les sites internet jugé comme étant le plus important. Alors y optimiser la présence de notre marque oui, mais ce n’est pas un Google qui va nous procurer notre chiffre d’affaires tous les mois.
👉 L’humain restera toujours la base, et ce dans tous business. On travaille avec des humains et on vends pour des humains ✅
Et mon objectif est de vous montrer comment on peut remettre plus d’humanité dans nos pratiques en ligne, surtout sur un site internet.
(Et si cette vision est trop utopique ou loufoque 🤪 pour vous et qu’elle en devient impossible, sachez que l’objectif de ce site internet est notamment de vous prouver le contraire)
Et il semble que je ne sois pas la seule
Puisque mon déclic a opéré avec le livre L’obsession du service client de Jonathan Lefèvre.
Puis il s’est conforté avec la vision centrée satisfaction des internautes de l’UX.
Et des faits viennent valider de plus en plus ma vision :
Je vois que les les algorithmes Google qui se concentrent davantage sur les utilisateurs, en favorisant la pertinence et la qualité des contenus. Car son objectif est de s’assurer que les besoins des utilisateurs soient comblés à travers leurs contenus consommés.
Je vois aussi des marques comme Martine Cosmetics 💄, réussissant à dépoussiérer un secteur très établi, grâce à ses produits (je cite) “vulgairement classe” et hyper qualitatifs.
Je vois aussi des restaurants qui rencontrent un succès parce que leur décoration est travaillée et la carte modernisée. C’est le genre de lieu où on fait des stories Instagram et qu’on recommande autour de nous.
👉 Alors sans un concept fort ou/et des valeurs fortes, une marque ne se fait aujourd’hui plus sa place. Et ce sera de plus en plus le cas.
Remettre le client au cœur de la stratégie de marque n’est pas une option.
Et je suis d’ailleurs heureuse de voir que de plus en plus de professionnels du marketing le pensent. Pour cela, prenez le temps d’écouter un Thomas Burbidge, le podcast de TheBBoost ou encore celui de Marine Deck ‘Le client’.
Les valeurs de mon marketing
L’authenticité🤍 🌿
Je ne veux plus me conforter à des pratiques marketing dont je ne suis pas d’accord.
L’objectif est ici de les dénoncer et de montrer ce qu’est vraiment le marketing en ligne.
Ainsi, il se peut que mes messages soient parfois difficiles à accepter pour vous.
L’humain 🤝 et l’égalité ⚖️
Cela peut paraitre évident mais ce n’est pas assez appliqué dans les faits : on fait du marketing et on vends des produits pour les autres, pour ceux qui achètent, pas pour soi-même.
Ainsi, il faut renverser la balance car les marques doivent servir les intérêts des consommateurs, pas l’inverse. C’est pourquoi, je déteste les mots supériorité, hiérarchie, imposer ou encore manipuler.
L’efficacité 🧠💸
Ensemble, on raisonne avec stratégie afin de trouver le chemin le plus rapide et le plus direct qui nous emmène à l’objectif final : avoir plus de ventes en ligne.
Ainsi, ce n’est pas parce que c’est tendance, que c’est plus simple ou que vous en avez envie que vous devez adopter cette pratique marketing.
La transformation 🦋
En entrepreneuriat ou en rénovation, je suis fascinée par toutes les possibilités de parcours quand il n’y a pas qu’une seule manière de faire.
C’est aussi quelque chose que j’adore dans mon travail : transformer l’information hyper théorique (et chiante !) en quelque chose de très pratique, concret et actionnable.
Ma manière de travailler
👩🎓 A l’école je mettais plus de temps que les autres pour comprendre, je n’avais aucune mémoire et je ne savais pas comment apprendre mes leçons.
Ma matière préférée ? C’était les maths, et de loin. Seule matière où il n’y a rien a retenir mais tout à comprendre.
- Je reprenais tous les éléments à ma disposition
- Je cherchais les liens de causalité
- J’essayai des choses, émettais des hypothèses et faisais des schémas. Jusqu’à comprendre la logique et proposer la version finale.
- Mes fiches n’étaient alors que schémas, tableaux et méthodologies étapes-par-étapes. C’était des pépites : tu les lisaient, tu avait tout compris du cours. 🔥👌
On ne peut pas comprendre un sujet en restant en surface sur celui-ci. Et on ne pourra jamais l’appliquer aussi bien que s’il est retranscrit de manière claire, concise et complète. Et rien de mieux que des tableaux, schémas ou étapes pour cela.
Et ceci m’a suivi durant toutes mes études : dès que je ne comprenais pas, j’allais chercher encore plus d’informations, puis pour que ce soit rangé dans ma tête sous forme de schémas géants.
Et c’est comme ça qu’est née ma méthodologie de travail, ma manière de fonctionner. C’est aussi celle que je veux vous livrer à travers mes offres.
Mais alors pourquoi fait-on du marketing de viralité alors ?
Parce que la société entière est comme ça et nos pratiques marketing en sont le juste reflet.
On a pas besoin de gonfler notre égo (et se flatter au passage) en faisant des chiffres exceptionnels. Car c’est pas ça qui fera forcément que ça vous sera plus accessible. Ce qu’il faut viser c’est le nombre de ventes, pas que de visiteurs.
Copier les autres, ça ne marche pas (très longtemps). Le marketing de viralité et de visibilité est seulement UN modèle de marketing (qui est à mon avis de moins en moins suffisant !).
Il faut surtout se connaître soi (en entrepreneuriat), connaître ses clients (ou les gens qu’on a envie d’aider) et trouver ce qui nous convient le plus. Car trouver son authenticité, c’est trouver son élément de différenciation naturelle.
Mes lectures marketing et entrepreneuriales
L’obsession du service client – Jonathan Lefèvre
C’est mon livre préféré ! Avec une stratégie marketing très maline et une vision du service client que devraient avoir toutes les entreprises. Ce livre montre que cela peut être un solide levier de croissance, grâce à une expérience client au top.
Stratégie digitale et psychologie des internautes – Samuel Bielka
Les internautes peuvent être imprévisibles, comme des enfants ! Ce parallèle est étonnant mais il permet de mieux les comprendre et d’anticiper leurs réactions. Axé sur la communication des marques, ce livre m’a permis de savoir prendre en compte les émotions des internautes et leurs biais cognitifs (ce qui change beaucoup de choses).
Ergonomie web et UX design – Amélie Boucher
C’est un très bon livre pour commencer l’UX, clair et très complet. Le début est top car l’auteure nous explique clairement ce qu’est l’UX et surtout ce que ce n’est pas. J’ai beaucoup appris ! La suite nous apprend pleins de petites optimisations directement actionnables sur son site, avant de passer aux tests utilisateurs.
Le guide du copywriting – Sélim Niederhoffer
Guide très concret avec pleins de conseils directement actionnables pour apprendre à créer une page de vente performante et pertinente. Est utile pour tout business.
Freelance : L’aventure dont vous êtes le héros
Au-delà du côté freelance et indépendant, c’est surtout l’aspect business qui m’a intéressé. Être indépendant demande de savoir gérer et scaler un business. Ce livre explique comment faire décoller son activité, construire son offre, apprendre à se vendre et vivre correctement de son activité.
Psychologie du consommateur – Nicolas Guéguen
Pleins de petites expériences qui visent à explorer les failles de notre cerveau. Elles montrent l’effet d’informations anodines, d’éléments atmosphériques ou relationnels sur l’émotion des consommateurs, venant affecter ensuite leur comportement.